Les émotions chez les ado !

Maxime a été interviewé par le magazine Okapi en Janvier 2024 dans le contexte d'un dossier sur les émotions  destiné aux 10-15 ans. Loin des modèles théoriques complexes et des résultats statistiques abscons, le dossier a été pensé comme une introduction aux informations scientifiques générales concernant les émotions. Il est aussi un répertoire d'astuces destinées à mieux accueillir et comprendre ce qu'elles et ils ressentent, et comment le réguler.  

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Neuromythes et éducation

Maxime a répondu aux questions de Sciences Humaines dans le contexte d'un article sur l'apport des neurosciences en éducation. Plus précisément, il a pointé en quoi certain.e.s influenceur.se.s, sans formation en psychologie ou en neurosciences, pouvaient parfois teinter de "neuromythes" leurs écrits sur l'éducation positive. Cerveau reptilien, opposition entre raison et émotion, localisationisme simpliste, l'appel aux (mauvaises) neurosciences pour crédibiliser des discours infondé est à la mode.

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Les mots d'amour perdent ils leur sens ?

Dans cette série d'entretiens traitant des questions qui travaillent notre société et qui font débat dans le champ intellectuel, Maxime était invité à répondre aux questions de Laura Raim recevant la linguiste Julie Neveux pour parler du sens des mots et de ce que celui-ci dit sur nos habitudes.

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Les lésions cérébrales des enfants ayant le Covid ressemblent-elles à celles de patients Alzheimer ?

Comme plusieurs de ses confrères sollicités par CheckNews, Maxime Bertoux, chercheur à l’Inserm à Lille et co-auteur de travaux sur l’imagerie cérébrale dans le diagnostic Alzheimer, nous confirme que «la littérature scientifique rapporte en effet des anomalies neurologiques parfois importantes dans certains cas d’enfants atteints du Covid-19, mais ce qui est observé n’a pas grand-chose en commun avec la maladie d’Alzheimer». Il nous précise que...

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Au sujet de l'étude "Does Culture Shape Our Understanding of Others’ Thoughts and Emotions? An Investigation Across 12 Countries.  (2022)"

Tests neurocognitifs : les écarts de performance selon la nationalité des participants questionnent la pertinence de leur généralisation sans adaptation 

Les tests d’évaluation de la cognition sociale, conçus dans des contextes culturels spécifiques, perdraient en performance quand ils sont utilisés auprès de populations d’autres nationalités que celle dont ils sont issus, met en évidence une étude française publiée dans « Neuropsychology ». 

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Mesure de la cognition sociale : de l’impact des facteurs individuels et culturels

Les interactions humaines sont permises par un ensemble de mécanismes neurocognitifs définis par la notion de « cognition sociale ». Afin de détecter les patients atteints de troubles de la cognition sociale, les spécialistes utilisent des tests d’évaluation validés internationalement. Or, ces tests sont pour la plupart développés dans des pays occidentaux industrialisés, ce qui peut questionner la pertinence de les généraliser à l’ensemble de l’humanité. 

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Au sujet de l'étude "When affect overlaps with concept: emotion recognition in semantic variant of primary progressive aphasia.  (2020)"

Neurosciences : nos émotions seraient influencées par notre culture

Une équipe de neuroscientifiques apporte la première preuve clinique que nos émotions ne seraient pas complètement innées. En étudiant les capacités émotionnelles de patients atteint d’aphasie primaire progressive sémantique, ils montrent le lien étroit entre connaissances et émotions.

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Les émotions, innées ou acquises ? *

Une étude de neurosciences suggère que nous ne naissons pas avec une palette toute faite d'émotions « prêtes à l'emploi », comme on l'a longtemps pensé, mais que nous les construisons culturellement dans notre enfance et tout au long de notre vie.

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Recherche. Les émotions se construisent-elles en fonction de l’expérience ?

...Il a voulu vérifier avec son équipe si le sens que l’on attribue aux mots décrivant les émotions joue sur la reconnaissance de celles-ci. Il explique les conclusions de son étude publiée dans « Brain », prestigieuse revue de l’université d’Oxford (Angleterre).

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Nos connaissances conceptuelles et du langage ont un rôle déterminant

Les émotions, sont-elles innées ou sont-elles le fruit de notre environnement ? Des chercheurs français appuient l’idée qu’elles sont le produit de notre culture et de notre environnement et qu’elles se construisent progressivement. Dans une étude publiée dans la revue Brain le 22 novembre, ils ont montré que nos expériences et notre environnement enrichissent des concepts appris dans l’enfance, associés à nos sensations physiques, qui “forment” nos émotions.

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Les neurosciences apportent de nouvelles pistes pour comprendre l’origine de nos émotions 

On a longtemps considéré les émotions comme des expériences biologiques innées et universelles, bien distinctes les unes des autres. Mais sont-elles vraiment innées ou bien sont-elles le produit de notre culture et de notre environnement ? Cette question fait depuis longtemps l’objet de débats dans le domaine des neurosciences. Des chercheurs de l’Inserm, de l’Université de Caen Normandie, de l’École Pratique des Hautes Études et des CHU de Caen et de Rennes apportent des données cliniques robustes en faveur de la seconde hypothèse. Leurs travaux suggèrent que notre capacité à connaître et à reconnaître les émotions se construit progressivement et dépend de notre connaissance du langage. 

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Joie, tristesse, colère... Nos émotions ne sont pas innées, confirme une étude

Nos émotions sont-elles innées ou dictées par notre environnement social et culturel  ? La neuroscience apporte des éléments de réponse. 

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* Notre équipe déplore le fait que les conclusions de notre article scientifique soient interprétées de manière étonnée par certains médias. Nous jugeons abusive l'interprétation de nos résultats comme une preuve du caractère acquis (vs inné) des émotions - interprétation qui n'est jamais formulée (ni de près, ni de loin) dans notre article.

Au sujet de l'étude "Does amnesia specifically predict Alzheimer’s pathology? A neuropathological study.  (2020)"

Faut-il redéfinir la Maladie d'Alzheimer ? (2021)

Le diagnostic est porté chaque année en France chez 225 000 personnes. L'amnésie est considérée comme le signe le plus caractéristique. Son absence oriente vers d'autres pathologies. Des scientifiques de l'Inserm (Maxime Bertoux), du CHU de Lille et de Lille Neurosciences & Cognition...

Publié dans le magazine du 27 Mai 2021

L'amnésie n'est pas toujours un signe d'Alzheimer* (2020)

Une étude menée par des chercheurs français montre que l'amnésie ne mène pas forcément à la maladie d'Alzeihmer.

Lire le premier article.
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Ne pas confondre amnésie et Alzheimer (2020)

Une étude de l'Inserm montre que les troubles de la mémoire ne constituent pas un marqueur systématique de cette maladie neurodégénérative. Et invite à repenser la manière dont elle est couramment diagnostiquée.

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Maladie d’Alzheimer : les troubles de la mémoire ne sont pas forcément les premiers symptômes  (2020)

Tous les jours, le docteur Jimmy Mohamed répond à vos questions et réagit à l'actualité sur la santé. Ce mardi, il souhaite rappeler que les troubles de la mémoire ne sont pas forcément les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer.

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Écoutez la chronique. 

Avoir des trous de mémoire ne veut pas dire Alzheimer * (2020)

Les travaux d’une équipe de chercheurs battent en brèche une idée reçue : oublier des choses n’est pas le signe que l’on va avoir la maladie d’Alzheimer.

Lire l'article sur Le Parisien.fr 

Lire l'article paru dans Aujourd'hui en France (07/09/20). 

Non, les pertes de mémoire ne sont pas forcément un signe de la maladie d’Alzheimer * (2020)

En analysant des cerveaux de patients décédés, des chercheurs ont constaté que l’amnésie n’était pas un marqueur spécifique de la maladie d’Alzheimer.

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Alzheimer : le nombre de malades en recul, enfin des signes d'espoir pour le dépistage  (2020)

Impression de tout oublier, mots qui "restent bloqués sur le bout de la langue", clés de voiture égarées ? Si c'étaient les premiers signes annonciateurs de la maladie d'Alzheimer. 

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* Notre équipe déplore le fait que les conclusions de notre article scientifique soient interprétées de manière étonnée par certains médias, qui se voudront rassurant puisqu'une amnésie n'est pas un signe systématique de pathologie Alzheimer. Nous précisons que l'amnésie, au sens clinique qui est le notre, est anormale et est un signe devant motiver une consultation chez un.e médecin. Dans notre étude, elle n'est pas un marqueur prédictif fiable de pathologie Alzheimer, mais elle est la conséquence systématique d'une pathologie cérébrale (Alzheimer ou autre), puisque l'ensemble de nos participant.e.s présentaient une maladie neurodégénérative. Cela n'est donc pas rassurant, comme cela pu être interprété à tort.

Maladie d'Alzheimer : l'amnésie ne serait pas un marqueur systématique (2020)

Bien que communément considérée comme signe le plus évocateur de la maladie d’Alzheimer, l’amnésie n’est pourtant pas présente chez tous les patients en début de maladie. Une étude menée par l'Inserm questionne pour la première fois la spécificité de ce symptôme dans la maladie d’Alzheimer et remet en cause cette association parfois systématique. 

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Alzheimer, uno studio indica che l’amnesia non è il primo segnale (2020)

C'è solo una moderata corrispondenza del sintomo con l’Alzheimer”, spiegano i ricercatori dell’Inserm, dell’Ospedale universitario di Lille e dell’Università di Lille nella loro nuova ricerca, pubblicata di recente sulla rivista Neurobiology of Aging

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Maladie d’Alzheimer : L’amnésie ne serait pas un marqueur systématique de la maladie  (2020)

Bien que communément considérée comme le symptôme le plus évocateur de la maladie d’Alzheimer, l’amnésie n’est pourtant pas systématique chez tous les patients en début de maladie. En outre, ces troubles de la mémoire peuvent se manifester chez des patients atteints d’autres pathologies neurodégénératives. 

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Alzheimer : la perte de mémoire n’est pas un marqueur systématique de la maladie (2020)

Considérée comme un signe précoce de la maladie d’Alzheimer, l’amnésie n’est pas systématique, révèle une étude de l’Inserm. La perte de mémoire peut aussi être le symptôme d’autres pathologies, qui seraient alors écartées au profit d’un diagnostic erroné.

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L'amnésie, un marqueur d'Alzheimer pas si fiable ? (2020)

Un tiers des malades d’Alzheimer ne présenteraient pas de troubles de la mémoire ! C’est ce que révèle une nouvelle étude de chercheurs français.

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Perte de mémoire : ce n'est pas forcément un symptôme de la maladie d'Alzheimer ! (2020)

Les pertes de mémoire sont souvent associées à la maladie d'Alzheimer. 

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Non, la maladie d'Alzheimer ne se résume pas à l'amnésie  (2020)

C'est le symptôme le plus souvent associé à la maladie d'Alzheimer. Mais la perte de mémoire ne doit pas mener automatiquement à ce diagnostic. Loin s'en faut.

Lire l'article sur Le Bien Public - Le Progrès - Le Dauphiné Libéré - L'Est Républicain - Le Républicain Lorrain - Le Journal de Saône & Loire - Vosges Matin

La maladie d'Alzheimer ne débute pas toujours par des trous de mémoire (2020)

Quand on parle de perte de mémoire, on pense instantanément à la maladie d'Alzheimer. Pourtant, selon une étude scientifique française, l'amnésie n'est pas systématique en début de maladie.

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Les 6 maladies qui peuvent faire perdre la mémoire  (2020)

Il est fréquent de se plaindre de trous de mémoire. Mais certains sont plus inquiétants que d'autres et peuvent être liés à une maladie. Dépression, maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques...

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Au sujet de l'étude "Sulcal morphology in Alzheimer's disease: an effective marker of diagnosis and cognition.  (2019)"

Alzheimer : un nouveau diagnostic* plus performant ?

Une nouvelle technique permet d'établir un diagnostic* fiable à plus de 90 %. 

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Des chercheurs présentent une méthode pour détecter "plus efficacement" la maladie d'Alzheimer 

Des chercheurs de l'Inserm, de l'université de Paris et du CEA ont mis au point une nouvelle méthode pour diagnostiquer* les patients atteints de la maladie d'Alzheimer. Selon les scientifiques, elle permettrait d'obtenir de meilleurs résultats que les techniques de diagnostic traditionnelles, mais également de suivre les différents stades de la maladie chez les patients. 

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Un nouveau marqueur cérébral pour améliorer le diagnostic* d'Alzheimer

Une équipe de chercheurs français a constaté que la largeur des sillons corticaux, qui s'agrandit avec la maladie, permettait de mieux diagnostiquer* celle-ci que les mesures anatomiques usuelles.

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Des chercheurs français présentent une méthode pour détecter «plus efficacement» l’Alzheimer

Le 21 septembre marque la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer. Une pathologie incurable qui, avec le vieillissement de la population, risque de concerner de plus en plus de patients. Il est donc important de la diagnostiquer le plus précocement possible.

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Des chercheurs français présentent une méthode pour détecter «plus efficacement» l’Alzheimer

Des chercheurs de l’Inserm, de l’université de Paris et du CEA ont mis au point une nouvelle méthode pour diagnostiquer* les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Selon les scientifiques, elle permettrait d’obtenir de meilleurs résultats que les techniques de diagnostic traditionnelles, mais également de suivre les différents stades de la maladie chez les patients.

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Une nouvelle méthode fondée sur l’analyse des sillons du cerveau.

Aujourd’hui, le diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer n’est pas fiable à 100 %. Récemment, cependant, l’équipe de Maxime Bertoux, de l’université de Lille, a proposé une nouvelle méthode fondée sur l’analyse des sillons du cerveau. Que peut-on en attendre ? 

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Maladie d'Alzheimer, une méthode plus efficace : l'analyse des sillons corticaux

A écouter sur franceinfo.fr

Alzheimer : des chercheurs français mettent au point une méthode "plus fine" de diagnostic* de la maladie

Une équipe de scientifiques français vient de réaliser une avancée : elle annonce avoir découvert une méthode de diagnostic* bien plus précise que celle utilisée jusqu'ici. L'un de ses membres nous l'explique.

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* Notre équipe insiste sur le fait que le diagnostic de la maladie ne repose pas sur l'imagerie. Les déformations médiatiques reprendront néanmoins le terme "diagnostic" ou "dépistage" pour commenter la méthode que nous avons utilisée.

Au sujet de l'étude "Determinants of theory of mind performance in Alzheimer's disease: a data-mining study.  (2017)"

“I forgot what you thought” : theory of mind abilities in Alzheimer’s disease

“Theory of mind” or ToM is a critical aspect of what is called social cognition, a set of neurocognitive processes allowing us to have normal social interactions. 

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Au sujet de l'étude "Social cognition deficits – the key to discriminate behavioural variant frontotemporal dementia from Alzheimer’s disease regardless of amnesia? (2016)"

Un test cognitif pour différencier la maladie d'Alzheimer d'autres démences

Trop souvent, la maladie d'Alzheimer est confondue avec la démence frontotemporale, une autre pathologie neurodégénérative qui provoque elle aussi des troubles de la mémoire. 

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Démence : évaluer la perte d’empathie pour affiner le diagnostic

Alors que la démence fronto-temporale est souvent confondue avec Alzheimer, des chercheurs ont mis au point un test pour orienter le diagnostic. 

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Démence : ce comportement social qui aide le diagnostic

La démence fronto-temporale est souvent confondue avec la maladie d’Alzheimer…une équipe de chercheurs français s’est appuyée sur un test basé sur l’empathie pour améliorer le diagnostic de cette maladie qui induit la perte du sens des valeurs sociales. 

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Au sujet de l'étude "Two distinct amnesic profiles in behavioral variant frontotemporal dementia (2014)"

Trouble de la mémoire dans les démences

Si les troubles de la mémoire ont longtemps été considérés comme un critère d’exclusion de la démence fronto-temporale, de récents travaux ont confirmé que certains patients peuvent également présenter une amnésie de type Alzheimer (...). 

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Au sujet de l'étude "How to resist temptation: the role of hippocampus-mediated future simulation (2013)"

Resisting temptation: It’s all in your brain

If I offer you a bag of potato chips today or a box of chocolate truffles next week, which would you choose? Neuroscientists are interested in exploring what happens when the brain must choose between receiving a reward immediately or in the future, especially when waiting may result in a prize you like better. 

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Céder ou ne pas céder à la tentation ?

Comment cédons-nous à la tentation ? Tout ne serait pas qu’une simple affaire de volonté. Les mécanismes cérébraux en cause viennent d’être dévoilés par des chercheurs de l’Inserm. Les régions impliquées dans les circuits de la mémoire jouent un rôle majeur dans cette régulation. 

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